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Mouvement de grève du 1er février

  • Anthony
  • 4 févr. 2024
  • 2 min de lecture


Mouvement du 1er février


Après la manifestation nationale du 25 janvier à l'appel de FO "sous les fenêtres de la ministre" contre l'ACTE 2 de l'inclusion, la grève a été très suivie ce jeudi 1er février. Des taux de grévistes très significatifs, des cortèges souvent massifs et déterminés : 600 à Poitiers, 100 à Montmorillon, 500 à La Rochelle, 1000 à Angoulême, 400 à Bourg-en-Bresse, 1 500 à Brest, 4 000 à Marseille, 400 à Mont de Marsan, 3 000 à Rennes, 200 à Rodez, 1 500 à Tours, 500 à Metz,1 000 à Besançon, 15 000 à Paris...


Dans un autre département, le DASEN n'a pas voulu rencontrer les syndicats. Devant les grilles de la cour de la DSDEN fermée, des manifestants ont tenté de forcer le passage. 

L'intersyndicale a déposé un courrier adressé au DASEN : " En cette période, tout laisse à penser que seul le blocage permet de se faire entendre : est-ce là la piste vers laquelle vous nous invitez à nous diriger ? " Au soir de la puissante grève du 1er février, c'est cette question qui est posée.


Communiqué de la FNEC FP-FO sur la journée de grève du 1er février en PJ.


Partout des initiatives ont lieu contre les suppressions de classes et de postes.

Réunissons les collègues sur leur lieu de travail pour réaffirmer, lister précisément les revendications, et décider de l'action efficace pour gagner. Demander l’aide du syndicat, informer le syndicat des initiatives dans vos établissements.


Discours de politique générale du Premier ministre : vers de nouveaux reculs sociaux !


La Confédération FO a pris connaissance du discours de politique générale du Premier ministre. Vous trouverez le communiqué de presse de FO en PJ.


Loin de défendre notre modèle social « protecteur et pourtant envié partout dans le monde», les annonces d’aujourd’hui sont porteuses de reculs sociaux particulièrement inquiétants.


  • Quand le Premier ministre indique vouloir réformer le droit du travail et favoriser les négociations entreprise par entreprise, pour FO, comment ne pas comprendre une nouvelle remise en question du Code du travail et une remise en question du rôle des branches ?

  • Quand le Premier ministre dit simplification des normes pour les entreprises, comment ne pas entendre déréglementation à tous les niveaux ?

  • Quand le Premier ministre dit « desmicardisation », cela sous-entend la remise en question du SMIC et de ses règles de revalorisation, mais cela ne signifie pas augmentation générale des rémunérations, ni remise en place de l’échelle mobile des salaires.

  • Quand le Premier ministre dit maîtrise des dépenses sous les 3% de déficit public, FO entend austérité salariale et nouvelles coupes budgétaires dans les services publics.

  • Quand le Premier ministre annonce la suppression de l’allocation de solidarité spécifique et sa volonté d’aller plus loin sur l’assurance chômage, comment ne pas traduire cela par de nouvelles atteintes aux droits des chômeurs ?







Syndicat National Unifié des Directeurs, des Instituteurs et des Professeurs des Ecoles, PsyEN et AESH du 1er degré FORCE OUVRIERE de la Somme

26 rue F. Petit - 80000 AMIENS | 03 22 91 37 10 | contact@snudifo80.com

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